=) =) =)
TOUT va bien !
:D
Tous ces souvenirs ont commencé ce soir, alors que j’ai penché ma tête en arrière, sous ma douche, de l’eau est entrée dans mon nez. Ça m’a étrangement rappelé la piscine du Blocry, quand je pouvais y aller, et pourquoi je n’peux plus.
Elle a toujours pensé être comme les autres, mis à part la mentalité.
Mais elle ne l’a jamais été, et dans le fond elle ne le sera jamais. Combien de fois n’a-t-elle pas pleuré pour éviter de
mettre sa crème, le soir ? Ce truc gras et froid, qui collait, bêrk,
elle voulait pas, et elle ne comprenait pas très bien pourquoi elle
était la seule à devoir en mettre. Mais surtout, elle sera toujours triste de voir les
autres revenir des sports d’hiver, avec deux traces blanches autour des
yeux, ou des vacances d’été, tous bronzés, alors qu’elle n’a pas changé
de couleur, peut-être encore à cause de l’autre crème qui pue et dont
le bouchon est couvert de sable ?!
Mais n’vous inquitez donc pas, la petite fille a grandit, ça s’est un
peu atténué. Car elle est consciente, de son problème. Pas grave vous
savez, mais tellement...
Oh, mais tout n’est pas résolu vous savez ! Maintenant
elle souffre d’autant plus qu’une autre, parce qu’une fille, ça s’épile
les jambes... Rasoir ; négatif, chef ! Crème dépilatoire ; négatif,
chef ! Cire ; négatif, chef !
Et l’ado doit redoubler d’attention, doit passer des
nuits blanches non parce qu’elle a le sommeil perturbé par un chagrin
d’amour, mais un chagrin de grattage, elle cache ses mains, elle cache
ses jambes, tout ça...
Combien a-t-elle été triste de ne plus pouvoir retourner à la
piscine la plus proche, toute sa vie elle aura l’image de ce matin,
dans le lit de ses parents, quand ils ont découvert cette peau...rouge,
brûlante, martyrisée, sous la couette. Et cette phrase à l’impératif,
qu’ils lui répètent et répétèrent et répéteront ! Arrête de te gratter !
Elle lavera jamais son acné au "Roc" mais à un produit vert, et
les autres font la moue en le voyant. Elle se lavera pas le corps au
Dove, mais à l’Eubos, savon liquide dermatologique. Elle se lavera pas
les cheveux au Schwarzkopf, ou à l’Herbal Essance, ni au Head &
Shoulders, mais à l’Eucérin. Elle...
renonce à citer tout, pourtant elle peut vous assurer que la liste
de consommation entre une ado normale et elle est très différente.
Heureusement on a découvert les pilules qui compensent plus ou moins la crème hydratante.
Alors ? Alors, elle a quand même mal, que oui, qu’il faut SOUFFRIR pour être belle !
Non, l’eczéma ça n’empêche pas de vivre, néanmoins ça fait atrocement
ch.er si je puis me permettre. Surtout, je vous en prie, ne frissonnez
pas de dégoût face à une personne qui a des problèmes de peau. Il a
déjà assez mal tout seul que pour être plus encore enfoncé par des
regards...durs à supporter.
Et mesurez vos chances !
Parfois j'aimerais être de ces gens qui n'ont aucun choix à faire, qui n'ont aucun de problème dans la vie, qui n'ont pas à fermer les yeux sur la misère, vu qu'ils ne la voient même pas...
Justine, oui, jalousie.
Sophie, oui, jalousie.
Nathalie, oui, désespoir.
Mais où sont les vraies amitiés dans tout ça ?!
Justine, tu ne me comprends pas.
Sophie, tu ne me comprends plus.
Nathalie, tu ne m'as jamais comprise.
Est-ce vraiment de l'amitié tout cela ?!
I'm so sorry my friends, j'en ai vraiment ma claque de mon caractère;
Un article sur un blog avec une image de nous, je me mets en pétard, puis tu me réengueules parce que ça ne me visait pas et que je me prends pour le centre du monde n'est-ce pas, puis tu me dis que je ne te comprends pas, que je te jalouse ou que je me venge...
OUI JE SUIS JALOUSE !!! et je sais même pas pourquoi je reste près de toi...
Marre, marre, marre, marre, marre, marre, marre, marre, marre, marre, marre, marre !!
Proverbe de Martinique
En gros, les indépendants travaillent pour faire vivre ces vautours qui leur taxent leur 'salaire'. Et oui, triste destin.
Jamais
je n'aurais pensé que le monde fonctionnait vraiment ainsi, et ces
rapaces rôdent autour de la gazelle qui se débat dans un dernier râle
de souffrance...
Eau, électricité, vêtements, nourriture, voyages,
fantaisies, parkings, essence, syllabi, portables, argent du mois des
enfants, téléphone fixe, connexion internet, coiffeur, loisirs,
vacances, ... et nous vivons dans un monde de consommation où
l'apparence est la clé de la connaissance. Où l'assistance aux
problèmes est un manque, devient un besoin de soutient permanent. On
n'a plus le temps de penser à soi, et l'on devient un chien qui répond
aux caprices si l'on ne trouve pas la personne bouche-trou à notre
caractère, nos envies et nos passions, si l'on ne trouve pas cette
personne que l'on appelle amie, qui partage la vie avec nous.
On
pense ne pas exister aux yeux de tous ces gens qui défilent sous notre
vue, les 365 jours d'une année qui s'écoulent et durant lesquels on
doit résister à une envie de hurler qu'on vit, bordel, qu'ils
détournent leurs regards de nos vêtements, qu'ils cessent de nous
reluquer de haut en bas !
Nous sommes tous des êtres aux yeux des
autres, nous, notre égo n'est pas différent, nous sommes tous
différents, et chacun porte en son coeur l'histoire de sa vie que l'on
ne pourra jamais décrypter, que l'on ne peut juger.
Personne ne peut se proclamer être l'incompris, mais tout le monde peut dire qu'il ne comprend pas le pourquoi du comment
de ceux qui nous entourent. Chacun peut trouver en son voisin l'idéal,
en cherchant bien, il ne faut pas juger d'un simple regard, comme nous
pensons qu'"ils" le font.
Alors cessez de lire mes absurdités ^^ .
Vivez mes amis, c'est tout ce que je vous souhaite, arrêtez de vous
sentir menacés par de simples personnes qui vivent tout simplement,
comme vous essayez de le faire à votre tour.
Chacun détient en son
Coeur une cause pour laquelle il se bat, et nous ne sommes rien pour
nous sentir en danger ou pour les mettre en danger...
Milosz - Les Terrains Vagues
Comment m'es-tu venu, ô toi si humble, si chagrin ? Je ne sais plus.
Sans doute comme la pensée de la mort, avec la vie même.
Mais de ma Lithuanie cendreuse aux gorges d'enfer du Rummel,
De Bow-Street au Marais et de l'enfance à la vieillesse
J'aime (comme j'aime les hommes, d'un vieil amour
Usé par la pitié, la colère et la solitude) ces terrains oubliés
Où pousse, ici trop lentement et là trop vite,
Comme les enfants blancs dans les rues sans soleil, une herbe
De ville, froide et sale, sans sommeil, comme l'idée fixe,
Venue avec le vent du cimetière, peut-être
Dans un de ces ballots d'étoffe noire, lisse et lustrée, oreillers
Des vieilles dormeuses des berges, dans les terribles crépuscules.
[...]
Je t'aime papa, tu es notre gagne-pain...
Toutes les étoiles de l'univers n'expriment pas toute la gratitude que l'on te doit.
Merci de nous faire vivre. Nous quatre. Et le chat...
Oh, je peux vraiment pas vous en vouloir...
Toujours là pour moi, oui, prêt à faire un câlin, un bisou, dormir avec moi, tout ça, c'est très gentil, c'est trop gentil, et je vous aime tellement, mais tout ça... Uniquement si je vous le demande...
C'est triste, vous comprenez, ça m'fait pleurer. Parce que j'ai pas l'impression que mon amitié est réciproque, pas tant que ça, que toi mon grand-frère tu m'considères vraiment comme une petite soeur...Oui, je te l'ai dit en face, souviens-t'en. Enfin je suppose que tu t'en souviens, mais c'est pour pas confondre avec l'autre, après un accord sur le net.. le net..
Ah oui, et le fait que l'autre glisse un je t'aime partout, comme c'est déprimant, et de voir que tu as de la réponse à ses textes, que tu t'entendes si bien avec elle... Oui, vous avez le même âge, et moi, là, petite, j'ai quel âge ? Je suis juste plus petite, ouais, mûre d'esprit peut-être... Juste plus petite, non ça n'influence en rien dans nos relations, bien sûr. Observez-vous bien avant de me le dire très sûrement, parce que ça fait mal vous savez !
Parce que j'en pleure vous savez, j'en souffre de n'être que des pensées de désespoir accrochées à vous, se remémorant chaque instant où j'étais pendue à vos lèvres, et en y réfléchissant bien c'était pas réciproque non, pas du tout, pas autant dumoins.
Ouais j'les aime tellement fort, mais est-ce qu'il ou il est déjà venu vers moi en pensant sincèrement à ses actes ? Hein ?
Non moi j'vous l'dis ça m'met les larmes aux yeux quand j'joue au piano et que j'repense à tout ça.
Les larmes aux joues, les larmes à l'eau...
Un copier/coller d'un commentaire que j'ai laissé sur le blog de ma CouZ.
<< Faut juste faire avec ce que la vie nous donne, et avancer sans trop regarder les autres ou se retourner, parce que c'est ça qui fait pleurer.....
Voir ce que l'on a fait de bien et se remémorer ce qui était mal, se remémorer des instants que l'on craint ne plus revivre et pourtant, on a toute une vie devant nous pour les revivre même si l'on ne pense qu'au pire !! Puis tous ces gens qui ont des qualités que l'on envie et qui nous montrent bien ce que l'on a pas, ces gens qui par un simple regard parfois nous rabaissent, alors que nous pensons peut-être à tort.
Merde alors ,j'ai perdu le fil de mes idées...
Ah oui, ah non... >.< Crétinerie de mémoire de poiscaille pfff ><
; il ne faut pas croire que l'on connait la vie et si bien les défis qui nous attendent, faut toujours être préparé au pire même si l'on croit l'avoir déjà enduré, et que l'on veut baisser les bras.. Faut pas, faut laisser s'évaporer ces idées, se dire que demain est un nouveau jour, puis si y'a des rudes étapes tant pis, préparons-nous y bien, et ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Même si c'est un dicton auquel on a du mal à croire...
(8)La vie ne vaut rien, rien, mais rien ne vaut la vie... >>
Regardez, des oiseaux aux ailes dorées laissant s'échapper une panoplie d'étoiles passent dans le ciel bleu azur peint par votre vie.
Oui, ces éphémères distributeurs d'oubli s'envoler bien haut sans que vous ne puissiez plus les toucher...Souvenez-vous en, d'eux, fort longtemps.
Je n'ai d'autre idée à ma plume qu'eux, sans doute est-ce répétitif et rébarbatif, pourtant j'aimerais leur raconter ma gratitude, si impossible à exprimer.
Puisque la vie n'apprend rien à Balavoine, que Damien Saez veut qu'on baise sur sa tombe pendant que Cabrel pleure dans son micro qu'il l'aime à mourir, j'ai aussi le droit d'hurler à ma plume mon amitié. D'ailleurs, je le fais et j'use ce droit !
Pour me souvenir, pour oublier l'espagnol, la reprise des cours dans une sorte de classe que je n'aime pas. Il y fait trop froid...
Ces textes n'en sont pas, pauvres et inutiles essais d'écriture.
Oh, comme j'ai plein de raisons à cueillir pour aller mal, mais comme ça ne sert à rien de s'en servir, si ce n'est attiser l'inquiétude des autres, leur intérêt soudain à s'intéresser à votre personne ; ces yeux vides de sens qui vous écoutent, vous ressassant les mêmes paroles, le même refrain en guise de réconfort !
Non, sourions mes amis, et si les gens n'en ont cure d'un rayon de soleil en plus, tant pis !
Moi, j'ai aussi tant de raisons à portée de main pour aller bien...
Il suffit d'ouvrir les yeux, chercher un peu. Pas trop, tout ce qui nous entoure est bonheur, parce qu'on a la chance de le posséder.
[Mon prof (tapé ! :p) de Sciences-Sociales a dit ; "Nous allons nous émerveiller de choses tout à fait banales..."]